En nous revoyant là, j'ai presque eu l'envie de te reprendre dans mes bras. En nous revoyant là, c'est comme si toutes ces soirées passé à tes côtés m'était à nouveau redevenue comme avant. Comme si les rires, les mots, les paroles, les sourires, les conversations échangés étaient revenu instantanément. Et puis y'a eu les moments moins bien qui me sont apparu, et puis c'est là, que la haine jaillissante pour toi, m'est revenue. Je l'aurais presque oublié, oui parce qu'avec le temps on oublie tout. Mais ça, oui ça. Je ne te pardonne pas. Et y'a tout un tas de ramassis. Que je ne te pardonnerais certainement jamais. Je sais maintenant ce que tu pense, je sais ce que tu dis de moi, ce que tu vaux. Cela me rend triste sais-tu. Car moi, quand je tends ma main à quelqu'un, je deviens certes possessive. Mais je suis toujours là, oui moi. Toujours. Alors ton visage, les mots, ils s'effacent petit à petit. Mais nous sommes bien trop hautaine pour pouvoir nous dire toutes nos peines. Je sais qui se cache derrière ton visage. Je sais la personne que tu es. Je suis navré. Je suis déçue. Ca me peine tu sais, se dire que rien n'est stable. J'espère juste que les personnes qui sont entrée dans ma vie, là, maintenant, que elles sont sincères. Qu'elle ne te ressemble pas. Mais rien qu'à ton visage, je vois déjà le sourire à demi dissimulé. Je sais que tu joues, que tu es fausse. Mais j'ai plus envie de ressasser. Même si.. Ouais même si, c'est là. En moi, ça demeure. Mais je n'oublie pas, non je suis plus maligne que ça. Je sais ce que tu vaux. Je sais celle que tu es. Le pire c'est que j'me ressasse toutes cette misérable histoire. Tant est s'il y en a une? Mais oublier, putain je voudrais effacer, toutes ces balivernes. Toutes ces conneries. Tu ne me vaux pas.

Le mot de la fin.